" Renforcement des moyens : l’accord sur le CE européen du groupe Mobivia Driver Services a été révisé, le 16 juillet, par un accord unanime des membres du groupe spécial de négociation. Le groupe compte 21 300 salariés en Europe travaillant notamment dans les enseignes de centres automobiles A.T.U., Norauto et Midas. Lors de sa première réunion, le 7 octobre, le comité a désigné les 5 membres de son bureau qui se réunira « autant de fois que nécessaire et en tout état de cause au moins une fois par trimestre ». L’accord renforce les moyens accordés au CE européen. « Nous passons d’une réunion plénière annuelle, à quatre par an », souligne le secrétaire adjoint, Alain Monpeurt (CFE-CGC). À noter que le comité est saisi en amont de tout projet transnational, préalablement aux instances représentatives au niveau national. « Lors de la consultation du comité local, celui-ci aura l’information du résultat de la consultation du CE européen », précise l’accord. Ce dernier ne prévoit pas de budget, mais l’entreprise remboursera différents types de frais. À noter une clause plutôt rare qui prévoit que « la direction prendra en charge les frais éventuels et nécessaires liés à une consultation juridique par les membres du bureau du CE européen dans le cadre de leur mandat au CE européen après validation du devis par la direction ». Le CE européen peut recourir à une expertise annuelle relative à l’analyse des comptes et, de façon ponctuelle, recourir à une assistance dans le cadre de procédures spécifiques ou portant sur des thèmes particuliers."
Source : article de presse "IR Notes" édition du 21 octobre 2020 : https://links.mailingplus.net/newsl_view.php?data=b32-7k5hck15mr2g253d413v924si1
Photos : membres (présents + visio) du CEE et Direction le 16 juillet 2020 lors de la conclusion de l'accord
Le Comité d'Entreprise Européen MOBIVIA Driver Services est opérationnel - CFE-CGC NORAUTO
La première réunion du nouveau Comité Européen (périmètre élargi) s'est tenue le 7 octobre 2020 en visioconférence, en raison de la crise sanitaire. Les 14 membres titulaires du Comité Eur...
La première réunion du nouveau Comité Européen (périmètre élargi) s'est tenue le 7 octobre 2020 en visioconférence, en raison de la crise sanitaire.
Les 14 membres titulaires du Comité Européen ont procédé à l'élection du Secrétaire, du Secrétaire adjoint et de trois autres membres qui vont constituer le Bureau.
Résultats de l'élection des membres du Bureau du Comité Européen Mobivia :
- Secrétaire : Michäel Hanses (Allemagne) -> élu (14 voix sur 14)
- Secrétaire adjoint (2 candidats) : Alain Monpeurt (France) CFE-CGC -> élu (10 voix)
- 3ème membre du Bureau : Alexander Föerster (Allemagne) -> élu (14 voix)
- 4ème membre (2 candidats) : David Bonnaterre (France) FO -> élu (11 voix)
- 5ème membre (3 candidats) : José Martins (Portugal) -> élu (10 voix)
L'accord conclu avec la Direction le 16 juillet 2020 permettra aux 14 membres du Comité Européen d'exercer leur mandat dans l'intérêt des 21 000 collaborateurs du Groupe. Le Bureau se réunira (en visioconférence) dans les prochains jours pour écrire sa feuille de route sur la base des premiers échanges relatifs aux actions à mettre en oeuvre.
La CFE-CGC signe un accord Comité d'Entreprise Européen au périmètre élargi - CFE-CGC NORAUTO
Photos : 16 juillet 2020 à Lesquin. " La direction du groupe Movibia, qui détient notamment les enseignes de centres automobiles Norauto et Midas, a conclu, le 16 juillet dernier, un nouvel accor...
Les membres du CEE Norauto CFE-CGC et FO rencontrent leurs collègues A.T.U. - CFE-CGC NORAUTO
La CFE-CGC NORAUTO est la 1ère organisation syndicale de l'Encadrement (Cadres et Agents de Maîtrise) de NORAUTO. Elle a obtenu 45% des suffrages de l'Encadrement (et 22,3% tous ...
Le Congé de paternité passe de 14 à 28 jours
La mesure sera inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2021, présenté le 7 octobre 2020 en Conseil des Ministres. Son allongement sera financé par la Sécurité Sociale. Les 3 jours de naissance sont toujours à la charge de l'employeur, et les 25 jours restants seront indemnisés par la Sécurité Sociale, dans la limite du plafond mensuel de celle-ci.
C'est pourquoi la CFE-CGC NORAUTO va demander la négociation d'un avenant à l'accord qu'elle a signé en 2013, afin que Norauto puisse compléter le salaire des Cadres pour toute la partie qui excède ce plafond.
Historique Norauto 2002 - 2013 :
L'indemnisation du congé de paternité et d'accueil de l'enfant suspend le contrat de travail du collaborateur ou de la collaboratrice de Norauto, qui n'est plus rémunéré(e) par l'employeur, mais par la Sécurité Sociale, dans la limite du plafond mensuel de celle-ci. L'accord d'entreprise relatif au congé de paternité négocié par la CFE-CGC NORAUTO et en vigueur dans l'entreprise depuis le 23 octobre 2002 venait compléter le salaire net des cadres (hommes) ayant plus d'un an d'ancienneté et dont la rémunération excèdait le plafond mensuel de la Sécurité Sociale.
La CFE-CGC NORAUTO a négocié, puis signé le 12 juillet 2013 un avenant à l'accord du 23 octobre 2002 relatif au congé de paternité en vue de permettre à l'ensemble des nouveaux bénéficiaires de ce récent dispositif de percevoir également le complément de salaire versé par Norauto.
Vidéo 1er octobre 2013 :
Depuis le 1er janvier 2013, le congé de paternité n'est plus réservé au seul père de l'enfant. La loi du 17 décembre 2012 instaure le "congé de paternité et d'accueil de l'enfant". Il s'agit d'un congé ouvert à toute personne vivant maritalement avec la mère, indépendamment de son lien de filiation avec l'enfant : conjoint de la mère de l'enfant, personne vivant en concubinage avec elle, personne liée avec elle par un PACS (y compris dans le cadre d'un couple homosexuel).
Les droits octroyés par ce congé prévoient une autorisation d'absence accordée à la fois au père et à la personne vivant en couple avec la mère. Par conséquent, les deux bénéficiaires du congé perçoivent les indemnités journalières de la Sécurité Sociale.
La durée de l'absence est actuellement de 11 jours calendaires consécutifs (18 en cas de naissances multiples) qui se cumulent avec le congé de naissance de 3 jours prévu par le Code du Travail. Ce congé est à prendre dans les 4 mois qui suivent la naissance. Le collaborateur doit en faire la demande au moins un mois avant la date prévue pour le départ en congé et la Direction ne peut refuser ou reporter ce congé.
L'indemnisation du congé suspend le contrat de travail du collaborateur, qui n'est plus rémunéré par l'employeur, mais par la Sécurité Sociale, dans la limite du plafond mensuel de celle-ci. L'accord d'entreprise relatif au congé de paternité négocié par la CFE-CGC NORAUTO et en vigueur dans l'entreprise depuis le 23 octobre 2002 venait compléter le salaire net des cadres ayant plus d'un an d'ancienneté et dont la rémunération excèdait le plafond mensuel de la Sécurité Sociale.
La CFE-CGC NORAUTO a négocié, puis signé le 12 juillet 2013 un avenant à l'accord du 23 octobre 2002 relatif au congé de paternité en vue de permettre à l'ensemble des nouveaux bénéficiaires de ce dispositif de percevoir également le complément de salaire versé par Norauto.
Allongement du congé paternité : une satisfaction pour la CFE-CGC
Demandé de longue date par les organisations syndicales et en particulier par la CFE-CGC, à l'origine de la création du dispositif entré en vigueur en 2002, l'allongement du congé paternité s...
https://www.cfecgc.org/actualites/allongement-du-conge-paternite-une-satisfaction-pour-la-cfe-cgc
La CFE-CGC y a négocié cet été un dispositif plus favorable
aux cadres et agents de maîtrise que par le passé.
« La loi nous offrait jusqu’au 31 août pour négocier un nouvel accord d’intéressement valable un an. Nous avons saisi cette occasion et convaincu la direction et les autres syndicats de prendre un peu de risques…» Pour Alain Monpeurt, le délégué syndical central (DSC) de la CFE-CGC chez Norauto, le texte signé cet été par quatre organisations sydicales comprend des innovations qui l’apparentent presque à « un contrat avec période d’essai ». Il s’appliquera à partir d’octobre 2020 et sera renégocié au bout d’un an.
À la base, la CFE-CGC ne se satisfaisait pas des deux accords d’intéressement signés précédemment chez Norauto, qu’elle jugeait peu favorables aux cadres et agents de maîtrise. D’abord parce que les taux de calcul s’appliquaient uniquement sur la moitié du salaire, défavorisant donc les revenus plus élevés. Ensuite, parce que le système était compliqué et peu lisible.
PLUSIEURS AVANCÉES NOTABLES
Dans le nouveau dispositif, les taux s’appliquent sur 100 % des salaires trimestriels bruts pour générer la prime d’intéressement. Par ailleurs, une sorte d’effet « cliquet » a été instauré pour que ces gains trimestriels soient acquis définitivement, alors qu’auparavant ce n’étaient que des acomptes sur l’intéressement annuel, susceptibles (en théorie) de devoir être remboursés si l’année était mauvaise.
Un autre acquis de la négociation réside dans le mécanisme de pondération. Groupe français spécialisé dans la réparation, l’entretien et l’équipement automobile, Norauto est divisé en une vingtaine de régions où opèrent plus de 300 centres de profit qui dégagent chacun leur propre intéressement. L’accord négocié prévoit que le salarié touchera une prime composée à 75 % du taux d’intéressement de son centre et à 25 % de celui de sa région.
Avec des militants comme Eric Groult, DSC adjoint, Doriane Garattoni, DSC adjointe, et Delphine Debuchy, déléguée syndicale, la CFE-CGC est le premier syndicat de l’encadrement chez Norauto et le deuxième en global.
Source : Gilles Lockhart, site confédéral CFE-CGC, article du 21 septembre 2020
Chez Norauto, un accord d'intéressement négocié par la CFE-CGC
" La loi nous offrait jusqu'au 31 août pour négocier un nouvel accord d'intéressement valable un an. Nous avons saisi cette occasion et convaincu la direction et les autres syndicats de prendre ...
https://www.cfecgc.org/actualites/chez-norauto-un-accord-dinteressement-negocie-par-la-cfe-cgc
La CFE-CGC NORAUTO a exprimé ses positions sur le Télétravail et apporté des propositions argumentées lors des deux premières réunions de négociation qui se sont tenues les 14 et 22 septembre 2020, en vue de la concrétisation d’un nouvel accord au sein de Norauto, pour une mise en œuvre à compter du 1er novembre 2020.
La CFE-CGC NORAUTO ne souhaite pas s’engager sur un accord à durée indéterminée, afin de pouvoir prendre en compte le futur déménagement du siège.
Pour la CFE-CGC, il est primordial de bien distinguer le télétravail « classique » de la Continuité d’Activité à Domicile (CAD) qui a été mise en œuvre dans le cadre de la crise sanitaire.
La négociation doit permettre d’aborder de nombreux thèmes dont le volontariat, la réversibilité du télétravail, l'anticipation de sa mise en place, la diversité des lieux de travail, la formation des managers, les pratiques managériales, l'intégration des nouveaux collaborateurs, le handicap etc. Autant de sujets fondamentaux dans un contexte où il faut s’attendre à un fort développement du télétravail à l’avenir.
Pour la CFE-CGC, le télétravail tel qu’il a été mis en place dans le cadre de la crise sanitaire (5 jours sur 5 et sans anticipation) ne devrait pas être considéré comme du télétravail mais comme de la Continuité d’Activité à Domicile (CAD).
La CAD se distingue du télétravail sur quatre points essentiels :
- Le caractère contraint du travail à domicile,
- La quotité de travail concernée par le travail à domicile,
- Le mélange vie privée / vie professionnelle (problématique de la garde d’enfants et de leur éventuelle scolarisation à domicile, hypothèses de multiplication au sein d’un même domicile du nombre de travailleurs concernés, problématique des aidants familiaux, etc.),
- L’impossibilité de recourir à un tiers lieu pour l’exercice de l’activité (espaces de coworking ou autres).
La CFE-CGC NORAUTO a déjà eu l’occasion de porter de nombreuses propositions pour répondre aux nouveaux enjeux du télétravail, sachant que les dispositions actuelles ne permettent ni d’appréhender de manière adaptée le changement d’échelle concernant le télétravail classique, ni le recours à un télétravail contraint comme durant la crise sanitaire, qui s’apparente davantage à de la Continuité d’activité à domicile (CAD).
Pour la CFE-CGC, il s’agit notamment de traiter les questions relatives :
- à la différenciation entre le télétravail régulier, exceptionnel et contraint ;
- au matériel professionnel et la prise en charge des frais personnels ;
- à la formation des salariés aux outils numériques ;
- à l’organisation du temps de travail ;
- à la régulation de la charge de travail des salariés et l’adaptation des objectifs ;
- à la formation des managers au management à distance ;
- à l’égalité de traitement par rapport aux salariés sur site
- à la protection du droit de repos ;
- à la protection du droit à la déconnexion.
L'accord actuel doit prendre fin le 31 octobre 2020. La CFE-CGC NORAUTO, qui compte 6 500 salariés, dont près de 600 salariés basés au siège à Lesquin, participera activement à l'élaboration de cet accord.
*Photo prise en 2019, avant crise sanitaire.
Durant l'été, la CFE-CGC NORAUTO a négocié un nouvel accord d'intéressement beaucoup plus favorable aux Cadres et Agents de Maîtrise : le taux obtenu sera basé sur la totalité du salaire (et non plus pour moitié comme auparavant). De plus, chaque trimestre calculé sera définitivement acquis (suppression des acomptes trimestriels). La CFE-CGC a également voulu un accord avec des critères simples et atteignables : facilement calculables en Centres et compréhensibles par tous. Il s'agit d'avancées majeures, pour cet accord qui s'appliquera à compter du 1er octobre 2020.
Prochaines étapes (septembre, octobre et novembre 2020) :
- renégociation accord Télétravail
- renégociation accord Égalité professionnelle
- renégociation accord QVT
- renégociation accord Représentants de proximité
Voici le détail de l'accord Intéressement négocié et signé par la CFE-CGC :
" La direction du groupe Movibia, qui détient notamment les enseignes de centres automobiles Norauto et Midas, a conclu, le 16 juillet dernier, un nouvel accord de CE européen, qui refont en profondeur le précédent accord de 2005 (révisé en 2010).
L’accord prend désormais pleinement en compte l’acquisition du groupe allemand A.T.U. en 2016, qui a permis au groupe de doubler de volume, avec désormais 21 300 salariés. Le CE européen comprend 14 membres titulaires, dont 5 pour l’Allemagne, devenue la principale délégation avec 10 077 salariés, devant la France avec 4 sièges pour 6 879 salariés. Viennent ensuite l’Espagne (1 802 salariés), l’Italie (754), la Belgique (660), le Portugal (582) et la Pologne (547). Le Luxembourg, avec 11 salariés, ne sera pas représenté au CE européen.
Par ailleurs, l’accord renforce les moyens accordés au CE européen. « Nous passons d’une réunion plénière annuelle, à quatre par an », souligne Alain Monpeurt, secrétaire du CE européen depuis 2005 et représentant CFE-CGC au sein du groupe spécial de négociation qui a signé l’accord, à l’unanimité des membres.
Le CE européen doit élire un bureau de cinq membres qui devront représenter au moins deux pays. L’élection se tiendra en octobre, lors de la première plénière. Le bureau se réunira au moins une fois par trimestre et « autant de fois que nécessaire ».
À noter que si le CE européen ne se substitue pas aux instances nationales, il est en revanche saisie en amont de tout projet transnational, préalablement aux instances représentatives au niveau national.
Concernant le budget du CE européen, une partie de la délégation française qui a fait un déplacement en Allemagne, au siège d’A.T.U, dans quelques sites et au syndicat IG Metall à Berlin, a adopté la pratique allemande : l’accord ne prévoit pas de budget à l’image des CSE français, mais l’entreprise remboursera, notamment les déplacements, sur justificatifs et dans le respect des règles internes de remboursement de frais.
L’accord est généreux en termes de « jours de délégation ». Ainsi chaque membre titulaire dispose de 7 jours par an. Les cinq membres du bureau en obtiennent 8 de plus, ce qui porte le total à 15 jours par an. Ils bénéficient également de 12 jours par an chacun pour organiser des visites de site, ce qui peut porter le total de jours à consommer dans l’année à 27 jours pour les membres du bureau. De plus, la direction et le CE européen peuvent convenir d’accorder des jours supplémentaires si la situation l’exige. Si un membre du bureau qui exerce son droit de visite d’un site, a besoin de se faire accompagner par un membre du CE européen qui n’est pas au bureau, ce dernier disposera du temps nécessaire pour effectuer cette mission.
Le CE européen bénéficiera de deux journées de formation en début de mandat, puis d’une journée de formation « d’actualisation » par an par la suite.
« Nous sommes très satisfaits de l’accord et de la volonté de la direction de mettre les moyens en place en faveur d’un dialogue social européen », souligne Alain Monpeurt."
Source : "Liaisons sociales Europe" édition du 23 juillet 2020.
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